Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute (26)
Alors que nous avons un contrat avec Séverine, notre magnifique escorte à la crinière rousse en Espagne, le couple qui a réservé notre fin daprès-midi et notre soirée nous conduis dans les arènes de Ronda ou ils nous ont réservé des places pour la corrida du jour.
Il est dix-sept heures trente, Julietta nous dit que le « Paseo » va débuter.
Elle nous explique que le Paseo est un défilé dans un ordre très précis.
Cest parti, le défilé commence.
Elle nous commente qui y participe.
En tête sur son cheval lalguazil amène les clefs du toril au responsable des taureaux.
Viennent ensuite deux chevaux de trait qui portent des armures de plusieurs kilos qui leur protège tout le corps. Ils portent les picadors avec leurs lances aux bouts acérés.
Les différentes personnes qui vont officier dans larène.
Et enfin les trois cuadrillas qui vont officier contre les taureaux.
Chaque cuadrilla est composée de trois péones chargés daider le matador, ils portent des capes de couleurs vives. Il y a avec eux deux picadors.
Chaque matador va toréer deux taureaux. Donc six taureaux par corrida.
Le principal matador, Manuel El Cidero, est magnifique dans son costume de lumière.
Je sens que Julietta vibre lorsquelle nous explique, cest différents tempos.
Je pense que la belle Espagnole doit mouiller intensément vu la passion qui lanime dès que les premières mesures de musiques ont démarré.
Avez-vous vu lentre jambes dEl Cidero ?
Il est reconnu par les femmes espagnoles que Manuel à la plus belle paire de tous les toreros qui officie dans les diverses arènes espagnoles.
Je sens autour de nous des regards appuyés. Trois belles femelles si près du Président doivent être des femmes importantes. Pedro a mon côté, bien sage pour le moment doit faire des envieux.
Le premier taureau est annoncé. Il pèse cinq cent cinquante kilos.
La porte du toril est ouverte, tout sagite autour de cette porte.
Il sort, quelle bête, une masse de muscles.
Mon premier regard se porte sans le vouloir sur les couilles de la bête.
Quelle salope, je fais, un homme à genoux devant un taureau monstrueux qui risque sa vie si le grand mouvement en cercle avec sa cape se passe mal et moi ce que je repère, ce sont les roupettes énormes de lanimal.
Julietta se penche vers nous et dit.
Vous avez vu les couilles de ce taureau.
Eh bien, il y a une autre salope assise dans cette loge.
Séverine ajoute.
Vous aussi mes salopes, vous les avez remarquées.
Regarde Magali, elle traîne presque jusquau sol.
La corrida se poursuit et le petit matador qui officie tue son premier toro.
La foule est en délire, elle agite des mouchoirs blancs.
Notre hôtesse nous demande de regarder le Président, sil place son mouchoir blanc sur la balustrade devant lui, le matador obtiendrait une oreille de la bête qui est étendue sur le sable de larène. Nous sommes comme tout le monde très existés.
Jentends Séverine crier vers lui.
Tu vas le sortir ton mouchoir.
Le Président fini par le sortir.
La foule redouble a faire tourner les mouchoirs, le président est imperturbables.
Le taureau mort est emmené tiré par deux chevaux.
Il sest bien battu, la foule lapplaudit.
Le torero avec sa quadrille fait un tour dhonneur pour ramasser tout ce que les gens leurs lances. Fleurs Chapeau et autres objets hétéroclites.
La seconde cuadrilla fait un travail propre sans faire vibrer la foule. Le taureau mort sort sous les sifflets.
Pas de tour de piste pour le torero.
Enfin, cest à lui, magnifique dans son costume rouge sang.
Séverine nous dit,
Vous voyez, son costume est de la même couleur que ma crinière.
Ensemble, nous éclatons de rire.
Cest fait la bête de cinq cent quatre-vingt-dix kilos est morte.
Le président, après bien du temps lui, accorde une oreille.
Le matador commence son tour dhonneur. Lorsquil arrive à notre hauteur, il prend trois roses et nous les envoie une par une à chacune.
Pedro nous dit.
Ce geste fait par le matador est considéré comme un hommage à votre beauté. Vous venez de vous faire des centaines dennemies femmes présentes dans larène.
Deuxième taureau pour les deux autres exécutants, le premier à la malechance, la bête na pour lui que ses couilles qui nous fascinent.
Le deuxième torero lors dune passe avec sa cape fait un mouvement et la corne imposante de la bête entre dans la cuisse du pauvre garçon.
Il le projette en lair et quand il retombe, il reçoit dans le côté un deuxième coup de corne.
Rapidement tous les professionnels sortent avec leurs capes et font des moulinets pour éloigner la bête. Le torero en sang est évacué vers linfirmerie.
Manuel sort et avec ses hommes cadre le taureau et le tue dun coup dépée.
Julietta nous dit, ce que vient de faire El Cidero est très dangereux car le taureau à encore toute sa puissance, car il est resté sans être assez châtié. De plus il a planté ses cornes dans lhomme et est prêt pour défendre sa peau de recommencer.
Enfin dernier taureau pour El Cidero.
Une masse de plus de six cents kilos sort du toril.
Manuel se place à quelques mètres de la porte dans laxe de la sortie de la bête les genoux au sol.
Lorsque le taureau se lance vers la lumière, il fonce littéralement sur lhomme.
Dun mouvement presque dédaigneux avec sa cape, il fait passer la bête à quelques centimètres de lui.
Les picadors, les banderilleros le taureau, sont tous au diapason du maestro.
Viens, le temps des passes de muleta. Gracieuses, très lente. Les passes dites «naturelles » senchaînent.
Manuel arrive même à arrêter le taureau et à effleurer avec son épée la tête de lanimal en plein centre de larène bouche fermé signe de bravoure pour un taureau et aussi pour lélevage.
Le matador récupère, lépée de mise à mort.
Il salue la montera à la main, il se tourne vers Séverine et la salut.
Tous les yeux sont braqués sur elle.
Julietta lui dit.
Tu es morte, le maestro vient de toffrir la mort de son taureau.
Il avance vers le monstre de muscle.
Il lance la montera derrière son épaule, elle vient tomber au sol la partie haute vers le ciel. Signe de bon présage daprès Pedro qui pour que je le regarde en profite pour poser sa main sur ma cuisse à la limite de ma mini.
Manuel fait faire encore une ou deux passes au taureau et se mettre en position pour plonger lépée juste dans le triangle au-dessus de ses cornes.
Dun mouvement de muleta, il fait partir la bête. Il plonge au milieu des cornes et foudroie le monstre qui tombe littéralement à ses pieds.
Dun mouvement gracieux du bras, épée levée vers le ciel, il salue la foule, rotation vers la droite, revient et part vers la gauche pour sarrêter en regardant fièrement Séverine. Je suis sûr que si je lui mets ma main dans la chatte, elle est complètement trempée.
Regarde, Séverine El Cidero bande en te regardant.
Il est vrai que lentrejambe de Manuel a pris du volume malgré le costume serré.
Dans sa posture, El Cidero fait comprendre a notre amie « Je suis le mâle, je suis ton mâle ».
Il va vers sa cuadrilla qui lui passe de leau et une serviette pour essuyer la sueur qui ruisselle sur son front.
Le public est en délire, tous volent sur la piste cousins, chapeaux.
Japerçois même un soutien-gorge dune taille imposante. La mama qui la jeté a dû allaiter la moitié des présents dans larène.
Le président accorde la première oreille, la foule réclame la deuxième qui lui revient.
Le président leur accorde.
Séverine debout, à côté de cet homme assis impassible, le regarde intensément. Un instant leur regard se croise et dun air de lui dit ce mouchoir est à vous, il sort pour la troisième fois le mouchoir fatidique.
Il vient de lui accorder la queue.
Pedro ajoute.
La queue, cest à Séverine quil là accordé.
Il me saute au cou et me plaque un baiser rapide.
La foule se calme, manuel El Cidero reçoit les deux oreilles et la queue de lanimal.
Ce taureau bravo sort, sous un triomphe du public Manuel sest déplacé avec ses trophées vers le centre de larène ou comme avec lépée, la main levée vers le ciel accompagne la sortie de son adversaire dun soir.
Il revient vers les barrières près du public. Ses acolytes ramassent des brassées de fleurs, renvoient les objets vers le public.
El Cidero ses trois trophées dans les mains les confie à son adjoint se baisse pour ramasser un bouquet de roses.
Arrivé devant nous, il enlève une rose du bouquet et me la lance.
Il en sort une pour Julietta et lui lance.
Le reste du bouquet atterrit dans les bras de Séverine qui est émue aux larmes.
Il finit son tour dhonneur, salut la foule au centre de la piste.
Les gens de piste, ses coéquipiers soulèvent Manuel et en le portant sur les épaules, lui font passer la porte dhonneur des arènes.
Vous allez vous dire, comment moi Magali est pu donner tous ces détails sur la corrida moi qui nen avais jamais-vu. Julietta est la cheville ouvrière de ce texte. Je la remercie.
La corrida est terminée, deux heures de spectacle haut en couleur.
Le Président se lève et vient vers nous. Un baisemain pour chacune, une poignée de main pour Pedro.
Sadressant à notre mentor, il lui dit.
Vous descendez comme prévu voir les matadors.
Nous descendons dans le ventre de larène. Je demande à Julietta si nous pouvons aller prendre des nouvelles du jeune qui a été encorné.
Nous nous dirigeons vers linfirmerie.
Le Président entre pour voir sil est visible.
Il ressort et nous pouvons le rencontrer. Il est prêt à partir vers son hôtel, le médecin lui a posé quelques points de suture à lui faire, aucun organe vital na été touché.
Après nous avoir salué, il séclipse aidé par ses partenaires.
Nous ressortons de linfirmerie, Séverine est impatiente, elle a envie de rejoindre son habit de lumières.
Pedro, où sont les autres Matadors ?
Ils sont partis à leur hôtel.
La corrida leur prend beaucoup dénergie. Ils se produisent dans une autre arène demain et doivent donc se coucher tôt pour récupérer.
Un instant jai limpression que Séverine va pleurer.
Julietta la prend par les épaules et la câline.
Viens, petite, nous allons continuer la soirée.
Nous saluons le Président.
Nous reprenons la voiture de Pedro et rentrons directement à lhôtel.
Nous montons aux chambres et je vois Pedro ouvrir la porte de la chambre au milieu des deux nôtre.
Lorsque nos amis nous voient nous diriger dans la même chambre, ils souhaitent que chacune rejoigne la chambre qui nous a été assignée.
Tenu de soirée dans trente minutes.
Lorsque jentre ma chambre ai tapissé de bouquets de roses de couleur rose.
On frappe à ma porte, Séverine voit les fleurs.
Cest pareil chez moi, mais elles sont toutes rouge sang.
Vite, va te préparer, il nous faut honorer notre contrat.
Elle virevolte et part en courant.
Trente minutes tapantes, nous sortons de la chambre, Julietta et Pedro sortent aussi.
La belle Andalouse a mis une robe traditionnelle si moulante quil lui soit impossible de cacher quelle est nu dessous.
Il faut dire que nos deux robes de soirée nont rien à lui envié sauf la longueur. Elle sarrête dix centimètres sous nos chattes.
Rouge pour elle vert pour moi comme la couleur de nos colliers que lon a mise.
Pedro nous entraîne vers le bas de lhôtel.
Nous pénétrons dans un salon privé où une table est dressée.
Le couvert est mis pour une vingtaine de personnes.
Je regarde Séverine et je sens en elle la même crainte.
Allons-nous être dans lobligation de contenter quinze à seize personnes.
Certes, Julietta a lair davoir de la santé mais tout de même
La porte du salon souvre et monsieur le Président entre accompagner de madame. Personne très élégante.
Je rigole, on me dirait, il y a presque deux mois, femme B.C.B.G. avant de franchir la barrière des tabous.
Nous entendons, beaucoup de bruit, la porte souvre et les trois toreros accompagnés de leurs associées font leurs entrées.
Dun seul coup le sourire de Séverine éclaire son visage.
Julietta nous explique que, lorsque la corrida se termine, le nombre de femmes qui sagglutinent aux portes de larène les oblige à fuir le plus rapidement possible vers leur hôtel. Ils peuvent enlever le costume quils ont mis des heures à enfiler et enlever de leur corps tout le sang que les taureaux ont perdu.
Costume impeccable, certainement taillé par un maître tailleurs Manuel savance vers nous.
Il fait un baisemain à Julietta, puis à moi, et fait de même pour Séverine, mais au moment de lui toucher le dessus de la main, il la retourne et lui embrasse la base du poignet.
Le jeune torero blessé est là aussi, je mapproche de lui et lui demande.
Comment, allez-vous ?
Bien, il me sera impossible de travailler pendant au moins huit jours, mais après le soleil que le taureau ma fait faire, je men sors bien.
Quel âge as-tu ?
Vingt ans.
Quel est ton prénom ?
Miguel madame.
Pas la peine de mappeler, Madame, mon prénom est Magalie.
Tu parles bien français, où as-tu appris ?
Il parle dun rire franc.
Je suis français de Nîmes.
Tout petit, je passais entre les grilles des arènes pour voir les corridas. Mes parents étaient trop pauvres pour me payer lentrée.
Lorsque jai eu lâge, je suis entré à lécole taurine.
Jai grimpé toutes les étapes pour arriver à être matador de taureau lors de la feria de ma ville, il y a un an.
Tu vois, à cette occasion, jai reçu la coleta ce petit chignon dans les cheveux.
Il me sera coupé lorsque je ferai mon dernier combat dans larène le plus tard possible, jespère.
Pedro nous place a table.
Manuel est la vedette de la table avec Séverine a ses coté. Julietta est à sa droite avec Pedro. Puis vient une partie des compagnons des trois toreros.
En face de Miguel, la Présidente et le Président.
Quant à moi, je suis entre les autres toreros dun côté Jésus et de lautre mon petit Miguel.
Le reste des colistiers complète la table.
Jésus est bien sympa, mais jai rapidement limpression quil na dyeux que vers un bel étalon de sa cuadrilla.
En face de moi, Séverine a lair aux anges.
Est-ce leffet des mains de Manuel qui bizarrement manque sur la table.
Le repas se passe bien. Lheure avance rapidement.
Vers vingt-trois heures, le président se lève avec Madame.
Ils viennent nous saluer puis sen vont.
Manuel tape dans ses mains.
Tous se lèvent et viennent un à un nous présenter leurs hommages.
Même Jésus part avec son bellâtre.
Pedro nous dit.
Si nous montions dans nos chambres.
Arrivé à létage, il entre dans sa chambre et en ressort avec deux enveloppes lune pour moi lautre pour Séverine.
À partir de maintenant nous sommes de nouveau des putains qui vont se faire enfiler.
Jaide Miguel à entrer dans ma chambre. Jai la nette impression que mon beau gosse sappuie sur moi plus que de besoin.
Je le laisse faire amusée de la situation.
Aussitôt entré jenlève ses vêtements. Il a lair tétanisé.
Décontract toi, je vais éviter de te faire de mal.
Sur son corps de nombreuses cicatrices marquent les endroits où les taureaux lont encorné.
Je magenouille et je lui prends le dard, il bande comme les taureaux quil tue.
Je le fais allonger, je récupère une capote et je viens menfourcher sur sa bite prête à éclater.
Calme toi, si tu prends ton plaisir trop vite, notre soirée sera raté car tu seras le seul à avoir joui et ma chatte ne sera pas contente de ne pas avoir explosé.
Arrête de bouger, moi aussi je reste sans bouger.
Lorsque je sens que sa tension est retombée, je recommence à bouger sur sa verge.
Il me regarde avec des yeux pleins damour.
Tu es la première femme à qui je fais lamour.
Tu es puceau.
Jétais puceau.
Et il part dans un grand rire.
Pour la deuxième fois de ma vie, je viens de dépuceler un homme.
Le fait de parler a ralenti ses pulsions.
Javais entendu dire que les toreros étaient de grands baiseurs.
Pourquoi pas toi ?
Je suis très timide et à chaque fois que jai voulu emmener une fille dans ma chambre, lun des membres de nos équipes me la soulevé.
Tu vas me promettre que maintenant avec les filles, tu seras le mâle dominant les femelles du troupeau comme le font les grands taureaux dans les élevages.
Oui, Magali, je te le promets.
Jactive le mouvement et je ressens une petite secousse comme du temps où je baisais avec Pierre.
Rien de grave pour linstant, je suis là pour ce petit qui demande quà prendre son envole.
Voyant quil va décharger, jenlève la capote lembouche et le fait venir au fond de ma gorge.
Ses jets ininterrompus de spermes si longtemps refoulés dans ses testicules me font un bien fou.
Très fatigué par sa journée, il sendort
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